Siem Reap
A quelques encablures du lac Tonlé Sap, la petite ville de Siem Reap sert de porte d'accès et de lieu de séjour aux visiteurs d'Angkor. Elle reste un havre de tranquillité en comparaison de Phnom Penh, sans être pour autant un bourg endormi. La ville connaît un boom touristique incroyable et sa vie nocturne est plutôt sympa... Faut dire qu'à 6 $ le seau de rhum-coca, elle a de quoi nous enivrer !
A quelques encablures du lac Tonlé Sap, la petite ville de Siem Reap sert de porte d'accès et de lieu de séjour aux visiteurs d'Angkor. Elle reste un havre de tranquillité en comparaison de Phnom Penh, sans être pour autant un bourg endormi. La ville connaît un boom touristique incroyable et sa vie nocturne est plutôt sympa... Faut dire qu'à 6 $ le seau de rhum-coca, elle a de quoi nous enivrer !
Plusieurs types de temples hindouistes avec des constructions différentes sont visibles à Angkor. Les premiers construits, en briques, arborent une construction issue de l’architecture indienne et ont leur temple construit au dessus d’une pyramide, avec 109 tours tout autour. D'autres sont en pierre, toujours selon le même type d’architecture et sont construits sur des collines naturelles.
Puis viennent les temples, créés sous la religion bouddhiste qui voient une nouvelle architecture pour leur construction. C’est le cas par exemple du Bayon avec ses immenses têtes de Bouddha souriant ou Ta Prohm, le temple englouti par les arbres fromagers.
Suite au déclin de la cité au 15ème siècle, les habitants ont quitté les lieux et se sont à priori dirigé vers Phnom Penh. Pendant des siècles, la jungle a pris possession des lieux, les habitations en bois se sont évaporées et l’endroit totalement isolé a été oublié.
C’est au 19ème siècle qu’Henri Mouhot un naturaliste et explorateur français redécouvre Angkor et les temples majestueux enfouis sous une jungle dense. Les expéditions se sont succédées jusqu’à la triste période des Khmers rouges, où le site a été énormément pillé.
De plus, les arbres et la jungle ayant enseveli les constructions au fil des années, la plupart des pierres ont fini par dégringoler et les sculptures se sont détériorées avec le temps et les intempéries.
Aujourd’hui, le site est en rénovation constante...
Puis viennent les temples, créés sous la religion bouddhiste qui voient une nouvelle architecture pour leur construction. C’est le cas par exemple du Bayon avec ses immenses têtes de Bouddha souriant ou Ta Prohm, le temple englouti par les arbres fromagers.
Suite au déclin de la cité au 15ème siècle, les habitants ont quitté les lieux et se sont à priori dirigé vers Phnom Penh. Pendant des siècles, la jungle a pris possession des lieux, les habitations en bois se sont évaporées et l’endroit totalement isolé a été oublié.
C’est au 19ème siècle qu’Henri Mouhot un naturaliste et explorateur français redécouvre Angkor et les temples majestueux enfouis sous une jungle dense. Les expéditions se sont succédées jusqu’à la triste période des Khmers rouges, où le site a été énormément pillé.
De plus, les arbres et la jungle ayant enseveli les constructions au fil des années, la plupart des pierres ont fini par dégringoler et les sculptures se sont détériorées avec le temps et les intempéries.
Aujourd’hui, le site est en rénovation constante...
Ah, j'allais oublier ! Au Cambodge, on mange vraiment très bien !
Nous avions gardé un bon souvenir de cette excursion, mais aujourd'hui, le tourisme de masse prend le dessus et si aller au lac de Tonlé Sap reste un classique lors d’un séjour à Siem Reap, Il aurait fallu éviter le village "piège à touristes", celui situé directement au sud de la ville à environ 12km : Chong Kneas. Hélas c'est toujours plus évident après ! Bon, ça reste joli, mais l'ambiance n'est plus la même...