Welcome to Annah Rais Longhouse, Padawan
Voilà ce qui est écrit sur le billet d'entrée... Ça fait un peu piège à touristes... Imaginez qu'on fasse payer l'entrée du village à Saint-Saphorin ou à Daillens ! Ouais, d'accord, entre les Daillenais et les Bidayuhs il y a tout de même quelques différences...
Bon, j'explique : les longuehouses sont des sortes de grandes maisons dans lesquelles vivent plusieurs familles. Entrées d'appartements différentes, mais interconnectées par un long corridor en bambou. Nous avons été accueillis par un verre d’alcool de riz (premier verre d’alcool depuis notre arrivée en Asie) avant de découvrir la vie quotidienne des Bidayuhs... d'avant. Car aujourd'hui, la plupart des habitants de ce village (à seulement 65 km de Kuching) vont travailler dans les grandes exploitations des alentours. Et si l'on nous présente leurs traditions culinaires (riz cuit dans du bambou sur un petit feu à l'extérieur de la maison) ou leur artisanat, il faut avouer qu'ils ont aussi accueilli la modernité (tv, internet, etc…). Et à côté des deux longhouses qui subsistent, beaucoup ont succombé aux charmes de la maison individuelle en pierre !
Pour en finir avec le folklore, on nous rappelle tout de même que ces tribus étaient aussi, il y a fort longtemps de charmants coupeurs de têtes ! Et on est très fiers de montrer quelques crânes qui semblent, du moins on l'espère, dater de plusieurs siècles... Avis aux âmes sensibles, quittez le diaporama avant la fin !
Bon, j'explique : les longuehouses sont des sortes de grandes maisons dans lesquelles vivent plusieurs familles. Entrées d'appartements différentes, mais interconnectées par un long corridor en bambou. Nous avons été accueillis par un verre d’alcool de riz (premier verre d’alcool depuis notre arrivée en Asie) avant de découvrir la vie quotidienne des Bidayuhs... d'avant. Car aujourd'hui, la plupart des habitants de ce village (à seulement 65 km de Kuching) vont travailler dans les grandes exploitations des alentours. Et si l'on nous présente leurs traditions culinaires (riz cuit dans du bambou sur un petit feu à l'extérieur de la maison) ou leur artisanat, il faut avouer qu'ils ont aussi accueilli la modernité (tv, internet, etc…). Et à côté des deux longhouses qui subsistent, beaucoup ont succombé aux charmes de la maison individuelle en pierre !
Pour en finir avec le folklore, on nous rappelle tout de même que ces tribus étaient aussi, il y a fort longtemps de charmants coupeurs de têtes ! Et on est très fiers de montrer quelques crânes qui semblent, du moins on l'espère, dater de plusieurs siècles... Avis aux âmes sensibles, quittez le diaporama avant la fin !