Lanzarote
Le seul moyen de voir un maximum de choses en un minimum de temps, c'est de prendre une excursion touristique en autocar. Nous commencerons par les "Jameos del Agua", qui sont des cavités souterraines au nord de l'île, un tube volcanique avec une cheminée naturelle, et au fond de ce trou, un petit lac avec une eau limpide où on voit plein de petits points blancs : c'est une faune unique au monde, de petits crabes albinos et aveugles, spécimens isolés du soleil depuis quelque 3 millénaires. C'est assez magique. Cette végétation et ce décor font penser à des scènes d'un James Bond : un espace piano bar et piste de danse, une piscine magnifique et un auditorium qui vient compléter le tableau. Tout cet espace a été agencé par un artiste peintre local : César Manrique.
Après une petite halte au point culminant de l'île, on continue par la dégustation des vins locaux qui sont, paraît-il assez réputés... Nous on n'a pas su apprécier !
Le seul moyen de voir un maximum de choses en un minimum de temps, c'est de prendre une excursion touristique en autocar. Nous commencerons par les "Jameos del Agua", qui sont des cavités souterraines au nord de l'île, un tube volcanique avec une cheminée naturelle, et au fond de ce trou, un petit lac avec une eau limpide où on voit plein de petits points blancs : c'est une faune unique au monde, de petits crabes albinos et aveugles, spécimens isolés du soleil depuis quelque 3 millénaires. C'est assez magique. Cette végétation et ce décor font penser à des scènes d'un James Bond : un espace piano bar et piste de danse, une piscine magnifique et un auditorium qui vient compléter le tableau. Tout cet espace a été agencé par un artiste peintre local : César Manrique.
Après une petite halte au point culminant de l'île, on continue par la dégustation des vins locaux qui sont, paraît-il assez réputés... Nous on n'a pas su apprécier !
Enfin, nous rejoignons le Parc national de Timanfaya. Ce dernier a reçu en 1993 le titre de Réserve de la Biosphère par l'UNESCO en raison de son vaste patrimoine naturaliste parfaitement conservé.
Nous y découvrons un paysage lunaire fascinant : une étendue de lave solidifiée, fruit des éruptions des XVIIIe et XIXe siècle. La température atteint les 140° à seulement 10 cm de profondeur. Nous assistons ici à plusieurs expériences géothermiques somme toute assez décevantes. Notre groupe attend son tour et va rentrer dans un drôle de rituel où tout le monde se met en rond, pour découvrir, baba, que les cailloux de lave atteignent 60°, c'est dingue ! Puis un agent assermenté du parc en uniforme rouge allume un cratère avec de la paille, alors qu'un un autre encore provoque un geyser artificiellement, provoquant les Ooohhh ! d'une foule ébahie, suivis d'applaudissements non moins artificiels ...
Nous empruntons ensuite la « Route des Volcans », un parcours long de 14 kilomètres harmonieusement intégré dans le paysage, qui serpente entre des coulées de lave aujourd'hui pétrifiées et d'énormes cratères. Un panorama à couper le souffle !
Nous y découvrons un paysage lunaire fascinant : une étendue de lave solidifiée, fruit des éruptions des XVIIIe et XIXe siècle. La température atteint les 140° à seulement 10 cm de profondeur. Nous assistons ici à plusieurs expériences géothermiques somme toute assez décevantes. Notre groupe attend son tour et va rentrer dans un drôle de rituel où tout le monde se met en rond, pour découvrir, baba, que les cailloux de lave atteignent 60°, c'est dingue ! Puis un agent assermenté du parc en uniforme rouge allume un cratère avec de la paille, alors qu'un un autre encore provoque un geyser artificiellement, provoquant les Ooohhh ! d'une foule ébahie, suivis d'applaudissements non moins artificiels ...
Nous empruntons ensuite la « Route des Volcans », un parcours long de 14 kilomètres harmonieusement intégré dans le paysage, qui serpente entre des coulées de lave aujourd'hui pétrifiées et d'énormes cratères. Un panorama à couper le souffle !
Nous terminons sur la côte ouest, au pied du Timanfaya, où, enchâssé dans un vieux cratère, se niche le Lago Verde. Un cordon littoral de sable noir lèche ses rives et le sépare des eaux tumultueuses de l’Atlantique. Cette lagune profonde de plusieurs mètres abrite du phytoplancton qui lui donne cette incroyable couleur…