Indonésie : Java
Première vision de la grande ville de Yogyakarta, nous apprécions les transports locaux et les sourires amicaux autour de Malioboro Road, l'artère principale de la ville.
Les contrastes sont parfois assez saisissant comme ici, entre les petits vendeurs de rue et les grands hôtels pour touristes fortunés. On voit ici l'hôtel Toegoe.
Visites du marché aux oiseaux et aux artisans locaux
Le kraton est le centre spirituel et royal de Yogyakarta. Protégées derrière une enceinte carrée d’un kilomètre de coté, de 3 mètres de haut et de 4 mètres d’épaisseur se cachent de vastes places, cours, quartiers d’habitation des serviteurs de la cour et de la famille royale. On y trouve le palais du sultan et ses cours successives aux élégants pavillons.
La danse Ramayana ou le ballet Ramayana est l’une de performance de danse la plus connue de Yogyakarta. Il raconte l’histoire de Rama et Shinta, un histoire d’amour tragique de la religion Hindou. Shinta est kidnappée par un géant s’appelle Dasamuka et Rama, son épouse essaye de lui sauver avec l’aide du Roi du Singe Blanc nommé Hanuman.
Du riz, du riz et encore du riz !
Le magnifique temple de Borobudur est le plus grand monument bouddhiste au monde, un site antique considéré comme l’une des sept merveilles du monde. Le temple repose majestueusement sur une colline surplombant des champs verdoyants et des collines lointaines. Il couvre une superficie énorme, mesurant 123 m2. Le monument est une merveille artistique, orné de 2672 reliefs de pierre sculptés et de 504 statues de Bouddha. La construction de ce temple n'a pas d’égal et réalisée sans ciment ni mortier ! La structure est comme un ensemble d’énormes blocs Lego imbriqués, les uns dans les autres.
Le temple est resté en place malgré dix siècles de négligence. Il a été redécouvert en 1815, enfoui sous des cendres volcaniques. Dans les années 70, le Gouvernement indonésien et l’UNESCO ont collaboré pour redonner à Borobudur son ancienne majesté. La restauration a duré huit ans et, aujourd’hui, Borobudur est l’un des trésors les plus précieux de l’Indonésie et du monde.
Le temple est resté en place malgré dix siècles de négligence. Il a été redécouvert en 1815, enfoui sous des cendres volcaniques. Dans les années 70, le Gouvernement indonésien et l’UNESCO ont collaboré pour redonner à Borobudur son ancienne majesté. La restauration a duré huit ans et, aujourd’hui, Borobudur est l’un des trésors les plus précieux de l’Indonésie et du monde.