On continue...
La Vallée « Arco Iris » ou Vallée de l’Arc-en-ciel tient son nom des pierres provenant de la chaudière (d’environ 80 km de diamètre) d’un ancien volcan, donnant un aspect féérique et coloré au paysage. Ce volcan retraité s’est, à l’époque, effondré sur lui-même, provoquant un tremblement de terre et un jaillissement de lave, pétrifiée au contact de l’air libre, que l’on peut admirer encore aujourd’hui.
Le village de Río Grande est situé dans la vallée fertile du fleuve du même nom, qui coule jusqu’à San Pedro de Atacama. Ce charmant petit village de 96 habitants (environ… on les a pas bien vus !) est totalement construit en pierre. On y trouve également une ravissante église.
Plus rouge que celle de la Lune, la Vallée de la Muerte aurait toutefois dû s'appeler Vallée de Mars sauf que son découvreur, Le Paige, ne connaissant pas un mot d'espagnol, a mal traduit le nom de la planète qui a été interprété par les Atacamiens comme "mort" et donc "muerte", alors qu'elle est bien plus fraîche puisque plus ombragée que la Vallée de la Lune...
De plus en plus beau...
Et voici la Vallée de la Lune : un paysage hallucinant et irréel. Le décor lunaire est si beau, si étrange que c'en est une expérience inoubliable. Attention, on est en haute altitude... Chaque grimpée est un réel effort. Les éléments ont travaillé de concert pour forger ce paysage d’une beauté à couper le souffle. La vallée est en fait un ancien lac et c'est le sel et l’oxyde de fer qui donnent au paysage des couleurs incroyables.
Situé à 4'300 m d'altitude et d'une surface de plus de 32 km2, El Tatio est la troisième région géothermique au monde… Le site comporte plus de 80 fumeroles, 60 sources chaudes et 40 geysers et quelques petits volcans de boue. Nous courons comme des gosses de l'un à l'autre au gré des jets de vapeur montant des divers cratères…
Puis, après un excellent petit-déjeuner servi par notre chauffeur, nous allons rejoindre à quelques centaines de mètres de là les fameux bassins d'eau chaude.
Le sentiment d'être à 4'300 m et de s'apprêter à prendre un bain chaud et réparateur à ciel ouvert, sous un soleil naissant, est inouï. Le bassin est alimenté par un bouillon naturel tout près, qui déverse une eau bouillante, et par un autre filet d'eau chaude. On peut s'asseoir dans l'eau, mais on découvre qu'en fait, la chaleur vient aussi du sol, si bien que l'on doit vite bouger sous peine de se brûler les fesses par ces jacuzzis sous-marins brûlants.
Puis, après un excellent petit-déjeuner servi par notre chauffeur, nous allons rejoindre à quelques centaines de mètres de là les fameux bassins d'eau chaude.
Le sentiment d'être à 4'300 m et de s'apprêter à prendre un bain chaud et réparateur à ciel ouvert, sous un soleil naissant, est inouï. Le bassin est alimenté par un bouillon naturel tout près, qui déverse une eau bouillante, et par un autre filet d'eau chaude. On peut s'asseoir dans l'eau, mais on découvre qu'en fait, la chaleur vient aussi du sol, si bien que l'on doit vite bouger sous peine de se brûler les fesses par ces jacuzzis sous-marins brûlants.